+33 (0) 6 62 09 28 00
Sélectionner une page

Sous quelles conditions un minéral est-il assimilable ?

L’être humain est un animal hétérotrophe : il ne peut consommer des minéraux inorganiques, autrement dit, des cailloux (des minéraux à l’état « dormant »). Seules les plantes (êtres autotrophes) le peuvent (et encore … car les spécialistes actuels disent que certains micro-organismes du sol les pré-digèrent et que la plante assimile ensuite des minéraux déjà transformés, « activés »).


Dès lors, l’être humain doit consommer des formes de minéraux assimilables pour lui.

Comment faire la différence dans tout ce qui nous est proposé dans notre alimentation et sur le marché des compléments alimentaires ? Voyons un peu les différentes possibilités.

Sources de minéraux assimilables :

  • les minéraux ionisés : ce sont les minéraux de l’eau de source, consommée A LA SOURCE !!, ou l’eau de MER vivante (plasma de Quinton), ou une eau naturellement alcaline par sa richesse minérale et re-ionisée par un processus adapté (vortex sur Quartz, …) ou comme certaines matières à mi-chemin entre le végétal et le minéral (comme le shilajit). Ces minéraux sont toujours en solution dans un liquide ou une matière vivante, sans quoi ils perdent vite leur charge ionique et redeviennent des cailloux inassimilables. Les argiles de qualité (à la condition de le pas avoir été exposées à des radiations comme la wifi ou les téléphones mobiles) contiennent également des minéraux ionisés.
  • les minéraux colloïdaux : un colloïde est une substance à l’état de particule, qui conserve son identité dans une solution liquide; les colloïdes sont minuscules par leur taille et sont dès lors facilement absorbés par le corps. Les plantes convertissent les minéraux métalliques en cette forme. Certains laboratoires disent pouvoir extraire des minéraux sous forme colloïdale au départ de dépôts de schiste (végétal fossilisé). Par ailleurs, l’eau de mer riche en plancton vivant (non irradié) contient des minéraux colloïdaux (l’ensemble des éléments du tableau de Mendeleïev), précisément grâce à la présence du plancton qui opère une transformation de ces minéraux (par exemple, l’eau de mer embouteillée selon la méthode Quinton garde ses propriétés intactes).
  • les minéraux chélatés : minéraux fixés sur des acides aminés ou petits protides (1  à 3 acides aminés). Dans la nature, les feuilles et la tige des végétaux verts ainsi que les fruits, contiennent des minéraux sous forme chélatée.Les compléments alimentaires vendus par l’industrie pharmaceutique et les laboratoires de compléments alimentaires essaient de copier ce type de structure, avec plus ou moins de succès. Les orotates faisaient partie des chélateurs de première qualité mais ont été interdits en France (… cherchez l’erreur !), puis viennent les pidolates, gluconates, glycinates … et loin derrière (peu assimilables), les carbonates. Correctement chélaté, un minéral est mieux assimilé au niveau de l’intestin-grêle. Les meilleurs produits permettent d’atteindre jusqu’à 60% d’assimilation (le reste partant aux toilettes …) et bien entendu, à la condition supplémentaire que vos intestins ne soient pas englués par le gluten, fermentations et putréfactions …

Minéral inorganique : un minéral qui ne peut pas être fixé dans notre organisme, parce qu’il a perdu sa charge électrique et/ou qu’il n’est pas correctement chélaté.

On en trouve malheureusement plein dans notre alimentation :

  • minéraux des végétaux cuits (la cuisson précipite les minéraux sous forme de cailloux),
  • minéraux des laitages pasteurisés (idem),
  • minéraux du sol (qui n’ont pas été prédigérés par les micro-organismes du sol puis absorbés par les racines d’une plante, amenés par la tige jusqu’aux feuilles et fruits et activés par l’action du soleil) : comme ceux contenus dans les fruits cueillis avant maturité !
  • minéraux commercialisés par les grandes firmes pharmaceutiques ou certains laboratoires de compléments alimentaires : la plupart sont issus de roches, absolument inassimilables, et d’autres sont fixés sur des supports peu métabolisables comme les carbonates.

Tout ceci finit par boucher nos reins et se loger sur les parois de nos artères et veines, de nos viscères, de la vessie … Et nous devenons nous-mêmes raides comme des cailloux !

Ainsi, nous ne pouvons pas incorporer dans nos tissus et os :

  • Catégorie 1 : les minéraux des légumes cuits, des compotes et des céréales complètes. La soupe, par exemple, si elle n’est pas très intoxiquante, elle n’est pas non plus nutritive ! La cuisson a tué toute forme d’énergie vitale et rendu inorganiques les minéraux.
  • Catégorie 2 : les minéraux des laitages animaux (quasi toujours pasteurisés). Ils ne peuvent jamais vous reminéraliser. Les pays les plus grands consommateurs de laitages ont les taux les plus élevés d’ostéoporose !
  • Catégorie 3 : les minéraux des eaux de bouteille se ventant de leur richesse en minéraux, la coquille des œufs de poule, …  Elles ne font que bloquer votre fonction rénale et créer de la rétention d’eau !!

Bilan des courses : non seulement nous mangeons trop peu de minéraux assimilables mais nous les abîmons à la cuisson et nous nous intoxiquons avec ceux que nous absorbons. La situation est d’autant aggravée que les sols de l’agriculture intensive sont littéralement lessivés!

Il suffit de consulter quelques documents comme les rapports officiels du Earth Summit (Nations Unies, 1992). On y lit que la concentration minérale des sols aurait dramatiquement décrut depuis un siècle. La déplétion serait de 85% en Amérique du Nord, de 76% en Amérique du sud et en Asie, 74% en Afrique, 72% en l’Europe et 55% en Australie. L’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO) montre que, sur ces mêmes surfaces appauvries en minéraux, l’agriculture a intensifié sa production à hauteur de 130% entre 1961 et 1998, pour produire environ 130% fois plus (par hectare) qu’en 1960.

Et puis, il y a les cultures en hydroponie : une catastrophe au niveau minéral et vitaminique …

Certains fruits et légumes ont perdu la quasi totalité de leurs minéraux; ils ont l’air très beaux mais n’apportent rien à votre organisme, déjà affamé ! Résultat, la balance penche du côté de l’acidose (alimentation acidifiante + carences minérales). Le corps ne peut plus neutraliser les acides avec les minéraux, ni régénérer vos os et cartilages, ni régénérer correctement l’enveloppe de vos organes. Or, nos tissus se renouvellent constamment. Par ailleurs, les minéraux, sous forme d’éléments trace (oligo-éléments) sont les catalyseurs de toutes nos réactions chimiques. A défaut d’apports minéraux suffisants, nos corps vieillissent et tombent malades.

Une des meilleures façons de vous re-minéraliser, c’est de faire des jus « verts » : jus de légumes ou jus mixtes fruits et légumes, Bio bien entendu ! Pensez également aux algues, aux oléagineux (toujours à faire tremper avant de les consommer) et aux graines germées. Le Plasma de Quinton est aussi un très bon complément, très doux (selon dosage et concentration).

Attention : refaire un apport de minéraux massivement peut engendrer des « crises curatives » car le corps reprend de l’énergie pour faire ses nettoyages; vous vous sentirez alors mal … mais c’est généralement plutôt bon signe.

Si vous voulez savoir où vous en êtes de votre minéralisation générale et de votre acidité, nous disposons au cabinet d’un outil performant de médecine quantique : l‘Oligo/Check (auparavant appelé Oligoscan) Le bilan des minéraux, oligoéléments et métaux lourds OligoCheck (OligoScan). Le résultat est immédiatement disponible.


Et pour savoir si vous avez beaucoup de dépôts de minéraux usés dans vos tissus, nous avons aussi quelques moyens de l’évaluer (par le bilan général et l’iridologie). Déroulement d’une consultation naturopathique

Au plaisir de vous rencontrer bientôt ! Contact